Le blog de Pascal(e)

Je me suis enfin décidée à m’acheter un spéculum. Depuis bien longtemps, je rêvais de découvrir cette sensation qu’est la dilatation que peut offrir cet « appareil ».

Dernièrement, je consultais divers sites spécialisés sur le web et finissais par me laisser tenter. Je passais donc commande de ce nouveau jouet mais aussi d’une paire de pinces à seins. Aussitôt le colis reçu, excitée comme une puce,  je me précipitais pour l’essayage.

 

Installée dans mon fauteuil de bureau, dans une petite tenue adaptée, je relevais les jambes pour poser mes pieds sur le bureau m’imaginant dans une salle d’examen de gynéco. Mon image en plein écran sur le moniteur, je saisissais le spéculum, impatiente de le sentir en moi. J’oubliais vite le froid des deux lèvres d’inox qui mirent bien peu de temps à s’immiscer dans mon fondement.

 

L’agréable contact des rebords métalliques contre mes fesses et l’image impudique que me renvoyait l’écran faisaient battre mon cœur. Petit à petit, je vissais le papillon destiné à l’écartement des deux parties du spéculum. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que je n’avais même pas de pose à prendre, la dilatation se faisait progressivement, sans douleurs. Je pouvais glisser mes doigts entre les deux parties de l’engin et ainsi caresser les chairs offertes dégagées. Je ne trouve pas de mots pour définir ce que je ressentais, mes doigts jouaient à l’intérieur causant des flux de plaisirs indescriptibles.

 

Le spéculum était ouvert au maximum et si la vis avait pu être plus longue, j’aurais probablement continué ! Aucunes douleurs, juste du plaisir ; sentir l’air s’infiltrer dans son ventre est chose peu commune. Voir le rose des chairs de ce fourreau initialement promis à des queues d’hommes est si excitant. Mais quand un doigt ou autre vient à leur contact, c’est électrique ! Imaginer un sexe masculin glisser dans ce gouffre offert devient affolant d’envie…

Je referai d’autres photos de meilleurs qualité que celles obtenue par ma web cam prochainement