Le blog de Pascal(e)
En cette fin novembre, il fait beau et pourtant, je reste plantée là devant mon écran à attendre un éventuel contact. Je traine sur un site de rencontre à consulter les profils de ces hommes qui recherchent une aventure avec une salope dans mon genre. Quelques contacts mais rien de bien sérieux : Je suis « compliquée » ou quoi ? Il faut que mon éventuel nouvel amant soit mature, entreprenant et puisse me recevoir !
Enfin, un homme semble vraiment intéressé et souhaite m’inviter chez lui. Il est marié, et donc, on ira passer un moment dans sa cave. Hummmm. Pourtant, il semble pressé, ce qui m’affole un peu car de mon coté, je me dois de prendre des dispositions afin que mon incartade passe inaperçue dans mon entourage. Finalement après quelques mails, rendez-vous est fixé le lendemain vers 14h. Je suis excitée… Ai tant de mal à tenir en place !
Catastrophe, le lendemain, j’ai un rendez-vous programmé à la médecine du travail, à 11h du matin. Je ne peux pas y aller en dessous féminins et devrai donc rentrer pour me changer et me préparer ce qui risque de compromettre l’entrevue avec ce nouvel amant. Courtois, il comprend et accepte donc de m’attendre au risque de voir sa femme revenir.
A l’issue de ma visite médicale, je m’empresse à rentrer, prends une douche, fais un lavement appuyé et me glisse dans mes dessous. Dans mon sac, je glisse appareil photo, gode, plug, gel, menottes, poppers et préservatifs et d’autres dessous au cas où… 45 minutes plus tard, je suis sur le parking du RDV… Un homme aux cheveux grisonnants se dirige directement vers moi, j’ouvre la porte de la voiture et le fais monter. On échange deux trois mots et il m’invite à démarrer et me guide vers chez lui. Un instant plus tard, je me gare sur un parking privé, à l’abri des vues, et suis D qui d’un pas décidé s’introduis dans un immeuble. Il décide alors de me faire rentrer chez lui « il fait frais, on sera mieux chez moi » On suit alors un petit couloir pour déboucher dans sa cuisine. C’est là qu’il me baisera !!!
Presque rapidement, j’enlève ma veste, pose mon sac sur la table et fais glisser tout de suite mon pantalon (enfin !) à mes pieds pour afficher fièrement mes fesses. Mon sweet suis alors le même chemin afin que je sois maintenant en petite tenue sexy : Un bustier dentelle avec porte-jarretelles, une petite culotte noire en dentelle elle aussi format string et de jolis bas qui mettent en valeur mes jambes et soulignent le galbe de mes fesses. Je suis bien, calme et sereine ; il émet quelques compliments, me touche ce qui éveille tout de suite mon envie. Je me penche vers l’avant, pose mes mains sur la table non sans avoir sniffé un peu de poppers. Une douce chaleur m’envahi, mon ventre grouille de désir et mes jambes s’écartent naturellement. Il s’agenouille, écarte mes fesses et entreprends de me lécher. Je sens sa langue me fouiller, la barbe du jour sur ses joues me rappelle que c’est à un homme que je m’offre. J’apprécie le moment simplement. Ma rondelle le libère peu à peu…
Derrière moi, sur le meuble, un appareil photo, du gel et des préservatifs ; il est lui aussi prévoyant ! Il me présente alors une sorte de ceinture gode creuse qu’il enfonce après m’avoir lubrifiée abondement. Il va sans dire qu’il n’aura pas eu de mal à m’enfoncer ce jouet ! Je le caresse en même temps. Les choses s’accélèrent, il enfile un préservatif. Je me retourne, tombe à ses pieds et avale le membre encore en semi-érection. Je me sens merveilleusement bien en petite salope à honorer celui qui daignera me baiser bientôt. Il me repousse ensuite pour s’équiper de la ceinture, sa queue a durcie mais peut-être pas suffisamment à son goût pour me baiser. Un « petit coup de poppers et Je prends appui sur la chaise, tend mes fesses vers lui en creusant les reins comme le ferait une pute. Ma culotte descend sous mes fesses, j’ai la tête qui tourne ! Ce bouillonnement dans mon bas ventre me donne l’impression d’avoir un vagin qui gonfle d’envies. Un coup de rein plus tard, il est en moi à me limer comme si j’étais une vraie femelle. Il me lime et prononce les phrases magiques qui m’étourdissent plus encore. Cela ne durera pas très longtemps avant qu’il ne s’extraie de ma chatte et décide d’enlever l’accessoire dont il s’était équipé. Je me retourne à nouveau, il enfile une capote, je plonge sur sa queue !!! Elle est raide est bien dure, légèrement courbée vers le haut. Les appareils photos entrent en action pour immortaliser l’instant. J’ai le visage plaqué à son pubis, la bouche remplie de son membre gonflé à l’extrême. Je pompe, prends conscience que j’ai une bite dans la bouche mais surtout que j’adore ça.
Il me relève et me désigne la chaise. Je n’ai pas besoin
de dessins pour aller poser mes mains sur l’assise et m’offrir à mon amant. Je l’entends me qualifier de ces mots crus qui me conforte dans l’envie d’être sa salope. Une petite photo, Clic, et il
m’attrape par les hanches pour se frayer un passage entre mes fesses comme aspiré le gouffre qui lui est présenté. Ses coups, sa queue qui me remplie et ses mains qui me tiennent fermement
sont les cadeaux que j’espérais. Penchée vers l’avant, Il m’attrape par les poignets qu’il tire vers lui Il dit que je suis sa salope, que je suis venue me faire défoncer la chatte, que je
suis là pour ça et me traite de pute. Moi, je le supplie de continuer. J’aime à n’être rien d’autre qu’un trou à bites et le fais savoir. Il me baise ainsi un bon moment pour un plaisir conjoint.
Il sort et bien sur, à nouveau, je veux sa queue entre me lèvres et sentir le gout de ma chatte dans la bouche. Hummm, c’est si bon ! Les appareils photo crépitent de nouveau ; je prend des poses sans équivoques offrant à l’objectif mon intimité la plus secrète. Il me touche partout, mes couilles subissent les assauts de ses mains, à son tour il va au sol et avale ma queue. Il suce divinement bien ce qui n’est plus pour moi qu’un clito qui ne connait plus que rarement d’érections. Mais c’est trop fort pour moi, je suis électrique, j’ai l’impression qu’il aspire mon essence même. C’est donc désolée que je lui demande d’arrêter.
Il se relève pour s’assoir sur la chaise. J’en profite pour venir m’empaler sur sa queue si fièrement dressée. Pas question de la laisser tranquille ! je suis assise sur lui, la tête sur les genoux, sa chair dans la mienne. Je pompe par succion de ma chatte le corps étranger qui m’empli ; chaque contraction est source de plaisir autant pour lui que pour moi. Ce qui serait des insultes en temps normal devient des compliments, des encouragements pour moi. Je le sens se crisper, je l’entends me prévenir de l’imminence de sa jouissance mais fais fi de l’avertissement, je joue de ma chatte sur sa bite. Son souffle s’accélère et son bassin se relève pour mieux venir à ma rencontre. Tendu comme un arc, il jouit en moi ! Je maudis malgré moi la capote qui recevra l’offrande quand mon vagin l’espère. Je continue à œuvrer pour que son plaisir soit total mais avoue que c’est tout autant pour le mien. Le cadeau d’une salope qui se fait enculer n’est-il pas cet instant magique de l’insémination « naturelle » ? Dans ces moments là, je ne suis plus qu’une putain !
Plus tard, je reprends appuie sur la table et m’enfile impudique un gros plug que j’aurais aimé garder pour rentrer. Mais ce n’est pas la bite d’un homme, ce n’est pas vivant et déciderai finalement de le retirer. Je serais bien rester plus longtemps et pourquoi ne pas redémarrer mon amant mais sa femme risquant de revenir, il a été décidé de remettre ça à une autre date. Il semble qu’un de ses contacts serait probablement intéressé pour le rejoindre quand je reviendrai me mettre à sa disposition. Je suis large et m’ouvre bien mais ceci est une autre histoire….
Oui, ça me plairait! Mais toujours avec la discretion qui s'impose.
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Dommage que tu ne sois pas rasée! Une pute doit l'être. En tout cas c'est ce que je t'imposerais en premier.
On voit que tu es prête à être prise en main réellement par un Maitre. Je te ferais baiser par des amis pour lesquels tu servirais de pute. Tu pourais avoir une bite dans chaque trou! Plus encore, tu devra les sucer pour les nettoyer après qu'elles t'ai baisée.
Avoue donc que ça te plairais, les petites salopes comme toi, je connais suffisemment