Le blog de Pascal(e)
A ce nouvel ami avec qui j'ai pu échanger sur un tchat dédié:
Je suis allée me coucher juste après notre échange par claviers interposés. Je n’ai pas redescendu la nuisette sur mes cuisses en me glissant dans le lit, préférant ainsi un libre accès à ma fine petite culotte. Tant d’images inavouables au commun des mortels se bousculent dans ma tête ! Elle dort déjà, inconsciente de ce que je vis ; je sens sa chaleur sur mon côté mais imagine que c’est toi.
Je nous vois alors de façon désordonnée, à divers endroits, comme si nous avions déjà vécu ces évènements. Deux potes qui se rencontrent et discutent ensemble sans éveiller le soupçon de quiconque et pourtant bien plus intimes que de simples copains !
La saison n’a pas commencé, les parkings de bord de mer sont vides et dans la voiture, la buée pourrait nous trahir. Mais rien ne semble pouvoir contrer le désir intense qui ravage nos esprits. Le lieu n’est pas vraiment propice mais l’instant est si érotique que nous fusionnons, bien que mal installés.
Pourtant, l’instant suivant, je suis dans une chambre d’hôtel où je me prépare à te recevoir dans tous les sens du terme. J’entends le code sur le boitier et la porte s’ouvre. Je suis là, un peu stressée, devant toi, dans une tenue sans équivoque. La lumière traverse la dentelle et te laisse découvrir mes formes. Nous tombons rapidement dans les bras l’un de l’autre amis nos mains tentent déjà de découvrir nos trésors respectifs. Je glisse entre tes bras pour venir me délecter du membre que tu me proposes. Je sens ton regard au-dessus de mes épaules qui se rive sur mes reins que j’ai inconsciemment creusé. Mes fesses se dessinent étrangement ouvertes. Tu devines l’endroit le plus secret de ma personne ! J’engame le membre qui ne cesse de se tendre avec délicatesse ; je résiste par moment à l’envie réflexe de rendre quand le gland vient profondément dans ma gorge car je veux même pouvoir venir te lécher les couilles mas mains plaquées sur tes fesses te tirent plus encore vers moi. Indécent, j’ose laisser trainer mes doigts sur ta rondelle ! Mon majeur te fouille alors que tes mains m’impriment le rythme. Nous sommes au milieu de la chambre quand tu me relèves et me retournes. Tu prends mes poignets, me guide à la fenêtre et me pose les mains aux carreaux. D’un geste savant des pieds, tu me positionne en m’écartant les jambes et te recules pour un spectacle hors du commun. Impudiquement cambrée, la dentelle remontée sur mes hanches, je laisse apparaitre ma rondelle accueillante. Mon souffle est rapide, j’ondule dans cette position, je te supplie imperceptiblement de me prendre ! La chaleur de ton corps se fait sentir dans mon dos, tes mains sont posées sur mes fesses mais que tes pouces tentent d’écarter plus encore. Le pieu qui glisse entre mes cuisses et me caresse tour à tour les couilles et la raie des fesses entretien ce trouble qui m’enivre. Tu joues de moi ! J’entends le déclenchement de l’appareil photo…
Quelques secondes plus tard, une pression sur ma rondelle déjà bien ouverte m’informe que je vais être « libérée » Ton gland délicatement soyeux s’infiltre dans mes chairs pour ressortir aussitôt. Tu tiens à me faire comprendre que c’est toi qui décide du moment ! Mon visage et mes mains plaqués à la vitre glissent quand je tente de me cambrer plus encore ; j’imagine (A tort ou à raison) que les voitures qui circulent plus loin me voient. Je réitère un « baise-moi » … Tu plonges entre les lobes charnus de ma personne. J’accompagne tes mouvements, gémissant quand ta queue me laboure les entrailles. Tout mon corps est soumis à tes coups et quand tu te figes, c’est moi qui prends le relais par de savantes contractions et tous mouvements susceptibles de nous faire profiter de cet accouplement interdit (diront les bien-pensants).
Mais tu en veux plus et te dégages pour m’indiquer le lit où je viens me mettre à 4 pattes et m’intimer l’ordre de revenir te prendre en bouche. Je suis brulante de désir ! Dans mon dos, le miroir reflète ma chatte béante ; les bas et porte-jarretelles semblent encadrer le tableau. Je suce et me délecte de ma propre saveur que j’ai laissée sur ce membre raidi par l’envie. Nos regards se croisent… Autres photos ! Ma main sur tes reins te tire vers moi quand l’autre glissée entre tes fesses laisse mon pouce te ferrer fébrilement.
Et tu me repousses sur le lit ; maintenant sur le dos, j’écarte les cuisses et relève mes jambes devant l’Homme qui ne tardera pas à me rejoindre. Clic, clic… Tu reposes l’appareil et u t’agenouilles, une main sur mes chevilles, l’autre pour guider ta queue et retournes dans ce fourreau qui t’es dédié. Nous fusionnons. Mon corps subis tes assauts et les transmet à la literie. Mes gémissements ne sont plus cachés. Mes mains se crispent sur tes cotés. Je sens le poids de ton corps quand tu décides de t’allonger sur moi.
Tu sembles marquer quelques pauses mais reprends bien vite ton travail de perforateur. Oh comme j’aime ça ! J’espère ta jouissance secrètement ; je veux de ton plaisir en me préparant à te garder en moi avec mes chevilles et t’interdire de me priver de cet instant magique. Et si je divague, je tais les mots qui pourraient être mal perçus car tu m’offres bien plus que ce que tu peux imaginer. Tu te tends… Semblant si dur dans mes profondeurs intimes, tes coups sont plus forts. Ton souffle est saccadé alors que je devine tes gémissements à peine étouffés. Dans un bien agréable dernier coup de boutoir, tu te cales en moi, m’inonde le ventre te ton jus signant ainsi ta propriété nouvelle. Je suis foudroyée par ton plaisir ! Je te caresse en te gardant contre moi. Je suis si bien !
Tu sembles pourtant inquiet de ne pas m’avoir fait jouir ; détrompe toi ! J’ai eu un orgasme que l’éjaculation n’aura pas signé. C’est difficilement explicable mais le plaisir, bien que différent est tout aussi fort si ce n’est bien plus ! Tu t’es retiré et constate que ma chatte ouverte se souille de ta semence… Encore quelques photos osées… Je t’entraine entre mes lèvres pour m’abreuver de ton nectar alors que tes doigts tentent de rentrer ce qui suinte sur mes cuisses. Je me caresse en même temps et ne tarde pas à joui… comme un homme !
Tout ce qui ce passe ne restera qu’une parenthèse dans nos vies d’hommes ; des moments d’une complicité sans faille jalousement gardés. Ce sera plus que des parties de cul ! Des souvenirs (le plus possible) qui marqueront nos parcours personnels indélébilement. Je tairai ces aventures, nierai même au besoin si d’aventure certains pouvaient se poser la question m’offusquant de pareille idée. Après tout, ne suis-je pas un Homme, sensible aux charmes féminins que les aventures (passées) ne viendront pas contredire ? Et si je venais à te croiser en publique, j’aurais la discrétion de ne pas t’interpeller et voire même, t’ignorer ! Rien n’empêchera toutefois de nous rencontrer en « motards » autour d’un café et de débattre entre mecs, de moto ou autre.