Le blog de Pascal(e)
"Droit au but" pourrait-être sa devise. Il n'a pas envie de perdre de temps avec une drague dont l'issue serait incertaine. C'est un mec, il a besoin de se vider les couilles et qu'importe la façon pour y parvenir. Le plus simple restant donc de trouver une tafiole soumise. Mieux encore, une travestie. Une de ces tapettes prêtes à tout pour être baisées. Ainsi, il déculpabilisera et ne sera pas homo car, pour lui, ce sera bien une femelle qu'il enculera.
Il connait les endroits propices à ce genre de rencontre. En ces lieux, chaque nuit un ballet de voitures s'improvise. Parfois, nonchalants, certains promeneurs arpentent les contre-allées, s'enfoncent plus loin à l'abri des vues. Les sous-bois deviennent parfois une fourmilière. Des couples illégitimes, hors-normes, se forment secrètement pour que naissent des histoires d'amour bâclé, aventures d'un soir de débauche.
La chance est avec lui, un discret appel de phare à cette voiture qui multipliait les passages aux abords du site. Au volant, c'est visiblement la proie espérée : Une tapette efféminée. La réponse ne se fait pas attendre par un rapide appel de phare. A sa hauteur maintenant, par sa vitre baissée, toise le petit pédé qui se jettera dans ses filets. Un bref échange silencieux pour ne pas attirer l'attention ; il se gare maintenant et rapidement, s'enfonce sur le sentier à travers les buissons ; la petite tafiole lui emboite le pas : Jupe courte, trop courte, un petit chemisier très féminin, des talons qui s'enfoncent par moments, laissant dans son sillage, les effluves d'un parfum exagéré… elle est ridiculeusement pathétique !
Non loin de la route, il trouve une petite clairière suffisamment éclairée discrète pour qu'il décide d'y poser son dévolu. Sans perdre de temps, il se retourne et toise celui qui satisfera à ses instincts les plus vils en dégrafant déjà la braguette de son pantalon. Une main charitable l'aide dans sa démarche, dégage le membre déjà bien dressé qui ne tarde pas à s'exposer, conquérant, à la lueur blafarde de la nuit. Toujours dans un silence monastique, la follasse s'agenouille déjà pour lui prodiguer une fellation dont il se souviendra.
C'est la qualité de la prestation de sa conquête, à qui il offre sa queue à sucer comme préliminaires, déterminera la suite de la soirée. La satisfaction d'un travail bien fait lui permettra d'envisager une éventuelle autre issue à cette rencontre fortuite.
Il apprécie en regardant le petit pédé s'affairer sur sa queue. Sa joue se déforme quand le gland la presse ; ses lèvres épousent au plus près la barre de chair qui plonge vers sa gorge. Elle s'enhardie, appliquée, elle s'affaire par une intelligente succion à innerver un peu plus l'objet de ses désirs, le faisant disparaitre entièrement par moments. A tort ou à raison, il ne peut s'empêcher de se dire que finalement, un mec suce mieux qu'une femme.
Il rompt alors le silence pour l'encourager
- Oh putain, t'es une vraie pro toi ! Vas-y, salope, profites de ma queue… c'est ce que tu voulais, n'est-ce pas ? Sucer un mec, un vrai !
Des gémissements étouffés en guise d'acquiescement comme seule réponse.
De ses mains, il attrape la tête de son suceur pour, à son tour, rythmer cette parade amoureuse. Il lime la bouche dans laquelle une langue avide s'évertue à le lécher. Des grognements de plaisir conjoints accompagnent chaque aller-retour. Sans vraiment se préoccuper des éventuelles plaintes de la tafiole, il tente de s'enfoncer plus loin encore, arrachant au passage des gémissements mêlés aux bruits de déglutition forcée. Cette pute qui se laisse faire l'excite comme aucune autre. Elle semble vraiment être faite pour ça, en honorant cette bite comme si sa vie en dépendait.
Il interrompt ses assauts pour ne pas bâcler l'affaire. Il peut voir cette bouche restée ouverte, tentant de happer encore sa bitte. Incroyable comme un mec peut sucer quand il se sent femelle et surtout, comme il semble aimer le faire.
- T'es vraiment une sacrée pute, dis donc ! T'es faite pour ça ma petite tartouze
- Oui, j'adore ça
- Tu as dû en sucer des wagons, avoue !
- Non, je n'ai pas trop l'occasion. Je ne peux venir ici que quand ma femme est de sortie.
- Parce que toi, t'es marié !! Je n'y crois pas… Elle sait que t'es une tafiole ?
- Oui, et non… Je peux me travestir à la maison. C'est souvent elle qui me baise avec la ceinture gode. Mais elle ignore que je couche aussi avec des mecs quand je le peux.
- D'accord… ça te dirait de devenir ma salope à moi ? Que je te baise quand tu es disponible ? En toute discrétion, bien sûr ! Je ne suis pas pédé, moi… Et je ne voudrais pas être vu avec toi !
- Oh ouiiiii
- Alors, prouves le… A toi de me donner envie de te revoir pour te baiser…
Obéissante, toujours agenouillée, la tapette reprends son travail. Ses mains délicates viennent doucement lui caresser les couilles. Il sent sa queue se raidir plus encore ; il sait qu'il est proche d'exploser. Elle aussi l'a compris mais ne semble pas s'en inquiéter. Elle s'affaire, au contraire, pratiquement comme une putain qui aurait été payée pour. Il n'en peut plus, attrape la tête pour mieux s'enfoncer, râle et décharge son plaisir sans prévenir. Il jouit comme jamais. Il jouit dans la gorge d'une tapette !
Malgré quelques tentatives insignifiantes pour se dégager, cette salope se laisse faire. Elle avale contrainte la semence de son étalon. Elle avale, sans rien perdre du sperme abondant qui lui inonde la gorge. Elle finit, les lèvres bien serrées, pour accompagner la sortie de sa queue. Relevant les yeux, souriante, pour le remercier, silencieusement, elle cajole de la langue, la bite qui perd déjà de sa raideur, s'appliquant à la nettoyer du mieux possible.
- C'est décidé, tu seras ma maitresse ! Tu vas me donner ton numéro que je puisse te joindre quand j'ai besoin de toi et tu devras te débrouiller pour qu'on puisse se rencontrer.
- Je ne suis pas toujours disponible, ça dépend des absences de ma femme…
- Arrête de geindre, tu veux ou pas devenir ma femelle ? Être baisée régulièrement, traitée comme tu le mérites … En salope ? Ne sois pas inquiète, ça restera notre petit secret.
- Oui, j'aimerais
- C'est pas ce que je te demande… Tu le veux ou pas !?
- Oui, je le veux !
- Ok, t'es officiellement MA femelle de dépannage. Je t'appelle quand j'ai envie mais toi, jamais tu ne me téléphones, t'as bien compris ?
- Oui
- La prochaine fois, je te baiserai comme une reine… Ou comme une chienne.
- C'est comme tu en aura envie…
- Vous ! Tu ne me tutoies jamais ! T'es pas ma femme mais ma soumise, compris ? Et en partant, tu attends que j'aie démarré pour sortir, je ne veux pas être vu avec une tantouze.
Voilà comment il est devenu mon Homme ou plutôt, comment moi, je suis devenue sa femelle de substitution. Sans réels égards envers moi mais avec une autorité respectueuse. Il a su me parler comme je l'espérais, me faisant agréablement perdre toute dignité. J'ai découvert le plaisir subtil de n'être qu'une soumise et lui en resterai reconnaissante. Nous nous sommes revus rapidement… Mais ce sont d'autres histoires !