Le blog de Pascal(e)
Ce récit, de mémoire, je me décide à le publier enfin. Née d’un contact par le biais d’un site de rencontre il y a de cela quelque annés, cette aventure sans lendemain m’a laissé un souvenir...
Amère.
Les photos qui accompagnaient mon profil semblaient intéresser particulièrement "P", un homme d’âge mur. Après quelques commentaires et échanges écrits, il est décidé que je prendrai contact avec
lui dès qu’il m’en sera donné l’opportunité. Je devrai alors me rendre chez lui, si son amie est absente.
Peu de temps plus tard, j’ l’appelais pour un rendez-vous coquin. Par discrétion, Il a été convenu que je me présenterai chez lui en homme. Evidemment, j’emportais tout ce qui me semblait être
indispensable à la réussite de notre "5 à 7" coquin.
Bel homme, il m’a reçu sur le pas de sa porte ; nous avons échangés quelques mots et aussitôt gravi les escaliers qui nous permettaient de rejoindre l’antre de mon hôte. C’est là, que sans
pudeur, je me changeais enfin pour revêtir mes habits de lumière. Assis sur un pouf en cuir, placé au centre de la pièce, il regardait, sans dire mot, semblant apprécier la scène qui se déroulait
devant lui.
Ehonté, dans cette tenue sans équivoques, je posais sur la table
basse gel, poppers, préservatifs et appareil photo. Quelques caresses plus tard, penchée vers l’avant et appuyée à une armoire, je lui dévoilais mes charmes. Il immortalisa l’instant…
Je revenais alors vers lui, pour le masturber, faire monter en lui le désir. Tombée à genoux, je regardais le membre se tendre vers moi. Je couvrais cette queue pour pouvoir enfin l’avaler.
Consciencieusement, je plaquais le gland avec ma langue contre mon palais et exerçais sur le membre la succion qui devait le faire durcir encore. Il me regardait, voyant sa queue disparaitre
entre mes lèvres pour réapparaitre presqu’aussitôt. J’aurais pourtant espéré qu’il me tienne par la tête afin de se servir de ma gorge comme un fourreau tiède dans lequel il pouvait se laisser
aller.
Un peu plus tard, nous reprîmes la séance photo ; exposée en
levrette sur le lit, j’écartais cuisses et culotte, laissant mes couilles (superflues) tomber et dévoiler presque timidement l’entrée privée de mon être à travers la dentelle. Remontant la
nuisette, j’entrepris de me caresser la chatte devant lui, bien consciente qu’il allait bientôt me falloir plus. Je me cambrais comme une chienne en chaleur prête à s’offrir à son mâle,
priant le ciel qu’il vienne me faire subir les assauts espérés. Envahi par une chaleur indescriptible, tout mon corps suppliait la délivrance. Dans ma tête, confuse, ce sont des pensées
inavouables qui se bousculaient. Mon bas ventre n’était plus qu’une fournaise qui me faisait agréablement souffrir.
Quand il posa l’appareil photo, je me rapprochais du
bord du lit. Je mettais à sa disposition un gouffre de désir. Mais cette fois (oui, ça arrive) les quelques tentatives qu’il entreprit sont restées vaines. Je n’ai senti de son membre que la
chaleur. Il restait flasque, comme mort. Il tenta maladroitement de s’excuser, expliquant qu’il n’était pas très bien et malgré les prodiges ou le bouche-à-bouche que je lui divulguais, l’organe
ne reprenait pas vie.
Parmi les quelques jouets que j’avais eu la présence d’esprit de glisser
dans mon sac, il s’emparait de ce petit plug qui me sert plus d’amuse-gueule. J’imaginais à tort qu’il n’hésiterait pas utiliser plus tard d’autres accessoires. Je fus lubrifiée, ce qui n’était
pourtant pas indispensable pour le "minuscule" jouet qu’il présentait hésitant. D’un coup de reins, j’engamais le gode entier. Le tenant par la base, lui imprimant quelques va-et-vient, mon amant
malheureux tentait de faire oublier sa déconvenue. Il ne comprit même pas qu’il pouvait me l’enfoncer entièrement et le laisser disparaitre… J’en rêvais !
Ainsi, cet après-midi que je souhaitais mémorable devenais un fiasco. Bien sur, je pouvais jouer ouvertement le rôle de salope soumise qui me seyait si bien, mais je restais toutefois un peu sur
ma faim. Je terminais donc par une masturbation solitaire et exhibitionniste devant celui qui se prévalait d’actif. Qu’il ne bande pas n’était pas le plus important mais qu’il ne participe pas
plus, restait très frustrant.
La morale que je tire de cette aventure est la suivante :
Si tu n’aimes pas (ou ne peux pas), n’en prive pas les autres !!!
ouiiiiiiiii ! J'adore les scéances cam avec toi mais espère surtout pouvir te "servir" réellement un jour!