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Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 12:32

En ce début novembre, il fait mauvais, une journée gratifiée d’une pluie incessante. J’ai rendez-vous avec G ! Le parfum que je porte embaume la voiture, j’ai du exagérer légèrement ! Je me suis préparée comme il se doit : Lavement, il s’agit d’être impeccable suivi d’une épilation/rasage et enfin d’une douche parfumée. Je tiens à être parfaite !

Consciencieusement, je choisis une nuisette dentelle assorti d’un sublime porte-jarretelles et d’un string du même ton le tout accompagné d’un petit déshabillé transparent. C’est fou le temps que je mets à me préparer maintenant, le moindre petit détail ayant son importance.

Un petit sac à dos dans lequel je glisse en vrac préservatifs, gel mais aussi gode, plug, pinces à seins, et spéculum, sans oublier un flacon de poppers et une petite culotte de rechange. J’allais oublier l’appareil photo !

Je fais très attention sur la route qui me mène à l’hôtel ; il ne faudrait pas qu’il m’arrive quelque chose et que l’on découvre la tenue que je porte sous mon pantalon et sous le blouson dont j’ai remonté la fermeture pour cacher la dentelle.

 

Arrivé sur place, je lui téléphone pour le prévenir que je suis en bas et que je l’attends. On passera une bonne demi-heure à jouer à cache-cache, lui à une porte moi à l’autre. J’ai bien faillit abandonner ! Mais finalement il apparut enfin. Plus âgé que je ne l’imaginais, il était en chausson, sa démarche paraissait hésitante comme s’il avait du mal à marcher. Après tout, j’essayais de me rassurer en pensant à nos échanges par mail dans lesquels, j’échangeais des messages avec un homme dominateur et décidé. Il me guida vers l’ascenseur dans lequel je pu, sous prétexte d’être trempée ouvrir mon blouson et mette au jour ma tenue sexy. On échangeait alors quelques banalités avant de pénétrer dans sa chambre.

 

1 A la fenêtre

 

Il s’assit alors dans un fauteuil et d’une voix sèche, m’intima l’ordre de me déshabiller. J’écartais une chaise près de la table pour y poser mon sac et entreprit un effeuillage en lui tournant le dos. Mon blouson rejoint la chaise à son tour. J’ôtais alors mon pantalon, doucement, en serrant les cuisses quand je me baissais ; j’avais les fesses visibles maintenant si bien qu’il me les gifla plusieurs fois à ma plus grande joie. Enfin dans une tenue plus adéquate pour ce 5 à 7, je m’appuyais sur la table, offrant ma croupe à une fessée appuyée. Sous ces consignes, j’écartais les cuisses ce qui lui permit de me prendre par les couilles, les serrer par moments dans sa main sans pour autant cesser de frapper mes chairs. J’accompagnais le bruit sec de ses coups par de petits gémissements, cambrant les reins pour lui signifier mon plaisir. Cela a duré suffisamment pour qu’une envie indescriptible m’envahisse.

 

A ma droite, la porte-fenêtre dont le rideau était ouvert, probablement à dessein, donnait sur un balcon surplombant la rue. Je prenais conscience que je pouvais être vue de tout passant sur le trottoir sans pour autant tenter d’y remédier. Plus à droite, une maison dont j’imaginais les locataires assistant discrètement à la scène, cachés derrière leurs rideaux. Je me sentais salope… L’ambiance était plus qu’érotique !

 

 

2 Offerte sur le lit

 

 

 

Il m’intima ensuite l’ordre de passer au lit sur lequel il s’allongea. Je pris place à ses cotés, à genoux, de façon à pouvoir le masturber. Il m’entraina alors vers lui pour pouvoir me sucer. Je sentais la chaleur de sa bouche sur ce sexe qui refusait de se tendre complètement et m’appliquais à lui prodiguer les caresses qui devaient lui donner envie de me prendre. Cette « sanction » dura un instant qui me parut pourtant interminable.

 

 

 

J’avais posé sur le lit, près de nous, mon petit sac. Ouvert, il laissait apparaitre ces jouets qui pouvaient sauver la situation et lui proposait de choisir lui-même l’un d’entre eux. Il se releva pour attraper l’appareil photo quand je pris une position qui ne laissait plus aucun doute sur mes envies. Je sniffais du poppers et me cambrais afin qu’il puisse constater combien ce trou logé entre mes cuisses pouvait s’ouvrir à la façon d’une vraie chatte. J’ouvrais un peu plus mes fesses d’une main pour lui confirmer son impression. Il avait maintenant à sa disposition, une véritable putain qui n’attendait plus rien d’autre qu’une quelconque pénétration.

 

3 Plugée
C’est le plus gros plug qui eu l’honneur de me remplir le ventre. Il est entré sans difficultés pour se figer dans ce vagin improvisé et mettre en valeur ce petit cul en chaleur. J’offrais maintenant le tableau d’une tapette empalée dont la bite molle pendait lamentablement, cachée par ces couilles qui dénonçaient mon véritable statut. Le crépitement des prises de vues m’excitait ; j’espérais même qu’il ose pousser l’envahisseur plus profondément dans mon fondement.

 

 

 

4 Sur le fauteuil

 

 

Je dû alors me relever et marcher ainsi équipée devant lui, en prenant soin de tortiller du derrière comme le ferait une femme. J’exagérais évidemment chacun de mes mouvements dans l’espoir secret qu’il finisse par me violer. Autoritaire, il me désigna le fauteuil dans lequel je devais alors m’assoir et écarter les cuisses pour que l’on puisse voir que j’étais vraiment une tapette docile. La séance de photo n’était pas finie ! Il m’ordonna de relever les jambes et de bien montrer à l’objectif mon intimité : Mon sexe d’homme impuissant, mon sexe de salope bouché par le plug.

 

 

 

5 L'invitation...

 

 

Je rêvais d’une bite, d’un mec qui me prenne et me soumette, de sentir ses cuisses frapper les miennes quand son gland plongerait plus loin dans mon ventre jusqu’à la délivrance de mon amant. Mais rien si ce n’est ce que je viens de raconter. Le temps passait, vite, et je compris que cette aventure ne déboucherait pas sur une baise. Je décidais alors de mettre un terme prématuré à cette dernière, déçu de ne pas avoir été prise comme je l’espérais. Je trouvais donc un prétexte quelconque pour lui fausser compagnie ; renfilant le pantalon et mon blouson, je ramassais mes petites affaires et fuis alors. Arrivée à la maison, encore plugée, c’est en web-cam que je terminais cette après-midi qui devait initialement faire de moi une putain.

 

Publié dans : Le3ème sexe
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Commentaires

un coucou  ou es tu???????????????MOI DANS LE 40

commentaire n° :1 posté par : mimi le: 03/07/2018 à 09h49

dans le Pays basque...

réponse de : Pascmich le: 03/07/2018 à 23h57
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