Pascal(e)...Trav "intérimaire"
J’avais retrouvé mon premier amour après de longues années. Séparée, comme moi, elle vivait maintenant seule dans une grande maison qu’elle avait héritée. Son unique fils avait déjà quitté le foyer familial pour s’installer avec sa copine. Sa vie se résumait à son poste d’encadrement dans une enseigne commerciale connue. De mon côté, je vivais mal la séparation, abandonné par ma compagne. Par le biais d’un site mettant en relation d’anciens copains, nous nous étions retrouvés.
En quelques semaines seulement, nous renouions des relations comme si nous ne nous étions jamais séparés. Très vite, il fut décidé que je la rejoindrais dans sa région pour emménager chez elle. Donc, après avoir donné ma démission à mon employeur, je m’installais dans une nouvelle vie, loin de tout ce qui pouvais me rappeler mon passé.
Elle était toujours aussi belle à mes yeux. Je ne me lassais pas à l’admirer lorsqu’elle prenait la voiture pour aller au bureau. Elle portait admirablement bien le tailleur, mettait en valeur ses chemisiers et ses jambes, délicatement gainées de bas qui laissaient deviner un porte jarretelles, auraient pu faire craquer tout homme digne du nom.
Chaque soir, à son retour, je mettais un point d’honneur à m’occuper d’elle. Sans emploi, en journée, je m’affairais à la maison comme le ferais une femme d’intérieur. De fait, ménage, vaisselle, linge, cuisine devenait mon lot quotidien ce qui, finalement, me convenait.
Nous formions un couple apprécié par le voisinage et ses relations qui venaient parfois nous rendre visite. Nous ne manquions pas une occasion de faire l’amour, comme pour rattraper le temps perdu passé loin l’un de l’autre. Et c’était grandiose : Pas de tabous, jamais de refus, tout était bon pour en tirer du plaisir. Nos jeux s’étaient diversifiés ne laissant aucune place à la routine ou la monotonie. Nous avions, sans hésiter, acheté ensemble certains accessoires destinés à pigmenté encore nos ébats.
Faisant table rase de nos histoires respectives, nous parlions peu de nos expériences passées afin de découvrir, à chacun de nos rapports, une nouvelle facette de l’autre. Plus dominante que moi et suffisamment coquine (Je l’avais déjà connue ainsi), elle me faisait découvrir de nouveaux horizons. J’acceptais toujours, émoustillé par ses propositions mais surtout ravi qu’elle le fasse. Elle s’amusait à me voir aussi dépendant, satisfaite de pouvoir, elle aussi, s’adonner à ses jeux complices.
Elle s’était absentée quelques jours pour une réunion de travail à sa maison mère. Plus loquace que moi, elle n’hésitait pas à heurter ma sensibilité par ses propos et son vocabulaire plutôt ardu. On parlait d’ailleurs toujours de ce que l’on pouvait ressentir ou de nos envies lors de nos rapports. Cette fois, loin de moi, de sa chambre d’hôtel, elle le fit par un courriel dont la teneur était de la même veine :
Même si tu ne l’avoueras pas, je devine que tu as encore fouillé mes tiroirs. Je t’imagine même à essayer mes culottes ou à enfiler mes robes. Mais rassure-toi, Bébé, j’aime le savoir. Profite de ce qui t’es agréable et apprécie le contact de la dentelle 😉
J’ai vu combien tu pouvais apprécier d’être pris, à ta façon de te cambrer et de t’exposer ainsi. Tu m’as excitée comme jamais je ne l’avais été. Voir ton petit cul relevé me rendait folle (d’ailleurs, tu as dû le sentir !). Quand je t’ai dit d’écarter les fesses, Je n'ai pas eu à beaucoup insister pour te convaincre. T’étais alors comme une femme en chaleur. Non, ne rougis pas… Je sais que tu espérais ça !
J’y pensais depuis un moment, surtout quand nous avons choisi la ceinture-gode au sexe shop. J’ai même hésité à t’entrainer dans la cabine de projection. Dès nos premiers godemichets, j’ai su que tu étais bien plus anal que tu ne voulais le laisser paraitre. T’écarter les cuisses pour te goder ne me suffisait plus. T’entendre gémir me rendais dingue. Alors, que nous ayons changé de rôle et de t’avoir baisé hier soir quand je me suis équipée, c’était sublime. J’avais vraiment l’impression d’avoir une bite et c’est pour cela que j’ai été un peu violente. Je ne veux pas que tu en ai honte, mais tu réagissais comme une vraie nana, Ma nana à moi ! C’était plus ton petit cul que je voyais, mais ta chatte. Et je peux t’assurer qu’elle était bien ouverte. J’ai l’impression de la voir encore.
Je sais que tu as jouis quand tu as senti que je te défonçais plus fort et que j’en tremblais. J’ai eu un orgasme de dingue. Pourtant, je n’ai pas osé te dire que je te trouvais « belle » mais je le ferai dorénavant. Et tu n’auras pas à te cacher pour porter mes dessous, c’est moi qui te les choisirai. Ne sois pas confus, Bébé, tu aimes ce que je te fais autant que moi de le faire. Je t’aime et encore plus quand tu es soumise.
N'imagine pas qu'on en reste là, ce serait dommage de s'arrêter en si bon chemin. On ne peut plus revenir en arrière et désormais, Il est peu probable que nous revenions à nos jeux initiaux… Et tant mieux ! Et je veux même aller plus loin :
Tu resteras mon seul et unique amour, mais ce ne sera plus seulement en tant que mec. J'ai envie de te voir exciter un homme, te regarder faire, le laisser te tripoter. J’aurai l'occasion de te prouver que je ne suis pas jalouse à plus forte raison s’il décide de te saillir. À voir la façon dont tu écartes les jambes, je crois que tu en as déjà rêvé et peut-être même essayé (tu me le confirmeras à mon retour). T’es tu aperçu te tu couinais vraiment quand tu es remplie ? Non, je n’exagère pas, tu couines vraiment quand tu es en mode femelle.
Il se fait tard, je suis toute mouillée d’avoir écris ce courrier, je vais en rêver cette nuit. J’espère que ces quelques phrases te feront le même effet et peut-être te donnerons envie de sortir un jouet. Tu me le diras. J’espère qu’à mon retour, ce soit toi qui me demandes de te prendre et peut-être d’organiser plus.
Je te laisse toute la latitude pour me répondre. Et, je l’espère, me confirmer ne pas me tromper.
Je t’aime Bébé, bien plus que tu ne peux l’imaginer !
Derniers Commentaires