Le blog de Pascal(e)
Dans une position sans équivoques, arquée à me rompre le bas du dos, je m’expose au regard de l’homme. La honte à laisser la place à l’envie. Après m’avoir caressée longuement, ses doigts m’ont délicieusement fouillée. Il s’est ensuite calé derrière moi, écartant la fragile dentelle de mon string. Maintenant, je sens la chaleur du gland qui se fraye un chemin et glisse, presque seul, entre les lobes de mes fesses. Les mains rugueuses jusque lors posées sur mes hanches, s’agrippent et m’impriment un mouvement vers l’arrière. Genoux et jambes écartés, mes cuisses entrouvrent plus encore mes fesses lorsque je recule. L’anneau si privé de mon anatomie apparait, disponible, à la vue de mon amant. Une douce chaleur m’envahit, mon cœur bat à en rompre ; sans pudeur, je me cambre maintenant afin de lui céder le passage.
En appui sur mes coudes, la tête enfoncée dans l’oreiller, je pousse mes reins vers l’arrière, vais à l’encontre du pieu dont je sens la chaleur de plus en plus présente. Nos respirations se confondent, entrecoupées de petits gémissements qui s’échappent de ma gorge. Je sens maintenant la pression d’un dard aux portes de mon être. Des portes qui ne tarderont pas à céder tant l’envie est forte. Il joue avec moi, faisant tournoyer l’anus qu’il va posséder bientôt autour de sa queue. Il observe la moindre de mes réactions, satisfait de constater que je suis non seulement consentante, mais que j’aspire à lui appartenir comme le ferait une femme. Je dois être bien ouverte car en peu de temps, mes derniers remparts s’effondrent. Nos corps ne font plus qu’un. Il se plante en moi sans réelles résistances de ma part. J’avale sa bite sans sourciller dans une expiration presque bruyante synonyme de la satisfaction que l’acte me procure. Il se retire légèrement pour mieux se renfoncer aussitôt semblant apprécier le velours du fourreau qui épouse maintenant son membre. Il voit sa chair disparaitre dans la mienne. Impudique, je l’aide dans cette intromission « contre-nature » diront certains.
Mes mains viennent écarter mes fesses pour lui permettre d’aller plus loin encore, plus profond. Ses va-et vient si agréablement brutaux me font osciller ; les coups sur mes fesses claquent dans un bruit sourd, à peine couverts de mes gémissements. Ses douces insultes me ravissent et m’excitent à me faire perdre le contrôle de mes actes. Je suis là à me faire prendre telle la chienne qui s’offre à son mâle.
Il est agrippé à ma taille et m’assène maintenant des coups de boutoirs de plus en plus rapides et de plus en plus forts. Mon cul n’est plus qu’un gouffre ; je sens dans mon ventre bouillonner un volcan en prenant conscience que je suis une sacrée salope à me laisser limer par la bite d’un homme tout en tirant un plaisir sournois de cette situation. J’espère impatiente le moment magique de la lave qui fusera de sa queue et m’inondera de bonheur. Il accélère, devient agréablement violent en s’enfonçant… Comme j’aimerais hurler ! Ses tapes rougissent mes chairs quand ses quolibets humiliants fusent et me bouleverse. Son souffle devient court, son dard se tend en moi, dur comme de l’acier, soyeux comme du velours. Il explose alors en m’injuriant, planté au plus profond de mon fondement. Comme une lame de fond, une vague de volupté m’emporte à mon tour ; je couine comme une truie, essaie de m’empaler plus encore. Un orgasme inconnu des hommes, m’arrache les derniers soupirs.
Je rêve maintenant du goût âpre et suave de ce membre tant désiré, l’assouvissement de ce jeu interdit, l’ultime offrande que je lui ferai… Je le nettoierai avec assiduité pour le remercier et qu’il puisse reprendre son chemin, sans garder d’autres traces que le souvenir d’une salope docile et soumise ; un garage à bite comme certains aimeront à me qualifier. De mon côté, je prierai pour être honorée ainsi, encore et souvent, par la gente masculine.
Mais je m’égare et reprends mes esprits. Il est 20h, ma femme vient de m’appeler pour passer à table. Si elle n’ignore pas mes fantasmes, connaissant mon penchant prononcé pour les dessous féminins et les longues parties de godes, elle reste loin d’imaginer que je suis réellement et inexorablement attiré par les hommes… Enfin, je suppose !
Et je risque d'en redemander souvent ! Comme tu as pu constater, je suis insatiable.
Merci beaucoup ! Désolée, Alain, je ne me souviens pas de toi (A moins que tu sois des "Dunes") Avons-nous déjà dialogués? Ou plus...
Je ne sais pas si tu as imaginé cet instant ou si il est vraiment arrivé. Je rêve de connaître la mm chose,ds les mm conditions. J'aimerais tellement être en contact avec toi
Cette histoire n'est pas vécue, si ce n'est en rêve. je préfère conter des histoires vécues mais elles n sont pas aussi nombreuses que mes envies. Il n'en reste pas moinsvrai que c'est ce à quoi
j'aspire.
pour le contact, voici mon mail: Pascmich.erog.fr
bjr Aprés avoir lu et relu cette OEUVRE je me suis décidé à sauter le pas! MERCI;Pris debout mon clito caché par ma gaine, mon amant , lui mm travesti, m'a pénétré aprés les prémices voulus.Ses mains plongaient ds mon sg et titillaient mes mamelons. Ses coups de boutoirs me soulevaient si bien que mes hauts talons claquaient sur le parquet. Bien sur il me parlait,!!! son sg me labourait le dos. Il changeait de rythme tant pour lui que pour moi; mais tjrs il était en moi. Hé puis il se répandit en moi et là ce fut l'éblouissement, un orgasme gigantesue provenant des tétons, de la prostate, du cIilto, orgasmes distincts et uniques"Reste" fut ma demande et ilresta lui aussi envahi de plaisirs. Merci à toi de m'avoir permis de sauter le pas
Je suis content pour toi, un peu jaloux même!
Et ce ne fut pas terminé! aprés la mise en place d'un tampon destiné à conserver la précieuse semence , puis qq repos et qq mignardises comme "mise en bouche" , nous inversames les rôles, il devint Elle,je devins lui. Et nous recommençames, elle portait une guépiére célant son clito. Trés vite le plaisir l'envahit et la domina, elle gémissait se trémoussait au mm rythme que le mien, devançant mes initiatives. Parfois elle hurlait. Et puis le point d'orgue arriva, submergée par ses orgasmes elle se pama durant qq secondes. Lorsque nous comparames nos trajets c'est elle qui obtint le plus de plaisir; Quand à moi ds ce dernier exercice j'éprouvais un immense plaisir mais pas plus grand que celui obtenu avec une femme expérimentée.
J'ai commencé comme "actif"... Mais préferais finalement la féminité réelle. Je me "tapais" un mec à défaut de trouver une femme finalement. Si je dois donner, je suis plus enclain à le faire pour une véritable femme.
Par contre, quand j'ai laissé éclater au grand jour mon coté féminin, j'ai éprouvé un tout autre attrait au sexe. Ma condition de passif me ravissait pleinement.; aujourd'hui, c'est ainsi que j'éprouve le plus de satisfaction (Je ne parle pas du plaisir car il est dans ce cas différent et donc incomparable)