Pascal(e)...Trav "intérimaire"
J’ai appris à apprécier la pénétration anale, au début comme un simple jeu érotique, puis par la suite comme élément indispensable de mes rapports sexuels. Plutôt macho, j’étais destiné à être le dominant ; mais mon coté obscure, le coté tendre, le coté féminin, me fit découvrir le plaisir d’être soumis. Pas vraiment une soumission « hard », juste un passage dans l’autre camp.
J’ai commencé par avoir envie de mettre mes fesses en valeur, ai acheté mes premiers strings d’homme. Et très vite, j’ai voulu dégrossir cette pilosité qui apparaissait de chaque coté du sous-vêtement ; ma femme m’y a aidé en me rasant, pour finir à me raser entièrement, derrière comme devant. Je conserve depuis cette habitude et me rase ou m’épile régulièrement. Dès lors, l’envie de me faire pénétrer était encore plus présente. Humiliante mais si excitante position que de se faire prendre en levrette par une femme !
Pour augmenter cette sensation, je parvins à la décider d’acheter des sous-vêtements plus « coquins » mais, malheureusement, le port du string n’est pas sa préférence. J’en héritai très vite quand elle me dit qu’il n’était pas perdu, que je n’avais qu’à le mettre. Pourtant habitué à sentir mes fesses séparées par un fin morceau de tissu, à la simple idée que je me féminisais, l’excitation était encore plus forte. Dans ce petit triangle de toile que je tenais à garder pendant nos ébats, j’avais bien du mal à cacher mes attributs d’homme. Par contre, il lui permettait très facilement de dégager l’orifice qu’elle envisageait d’investir en écartant la fine corde qui me fendait. C’est ainsi qu’est née en moi, cette envie de dessous affriolants. Il nous vint alors l’idée de commander, pour moi seul, des strings dentelles de femme à ma taille. D’autres culottes dentelle vinrent compléter ma « collection » et c’est avec quelques petits problèmes de taille ou matière que je suis arrivé à avoir mon propre tiroir de dessous sexy que je ne suis pas prêt d’abandonner.
J’aime tendre mes fesses pour m’offrir à elle, affichant sans pudeur mon intimité qu’elle dévoile en écartant ma culotte. Cambrant les reins pour mieux absorber le godemiché, je sens le désir monter en moi. Je dois avouer avoir la chance de pouvoir m’ouvrir facilement, à tel point que même plusieurs godes peuvent s’enfoncer en moi. Ainsi, elle n’hésite plus aujourd’hui à pousser entièrement un plug qui disparaît alors au plus profond de mon être, engendrant des vagues de plaisirs inconnus jusque lors, de vrais orgasmes sans éjaculation. J’aime m’agenouiller au dessus d’elle, m’enfoncer sur le phallus silicone qu’elle pose sur son bas ventre et laisser mon corps absorber ce membre factice, ses mains posées sur ma taille pour mieux diriger la pénétration. Il en va de même lorsque je suis à genoux, avant bras posés sur le lit et qu’elle se place derrière moi. Je vais presque inconsciemment au devant de cet artifice qui devient pour moi, le sexe qu’elle n’a pas et qui joue pleinement son rôle en dilatant le sexe, que moi, je n’ai pas. Les rôles sont inversés… Ses mains caresses mes tétons qui durcissent et m’électrisent, j’aimerais gémir de plaisir.
Je n’ai pas l’intention de devenir efféminé, bien trop mec pour cela, mais désire être féminisé en privé. C’est ainsi qu’une nuit, j’ai eu à mettre une nuisette ; elle s’en est amusée, me demandant de m’exposer à la lumière, douce humiliation, et m’a fait tourner sur moi-même comme pour un défilé de mode laissant monter en moi, un sentiment de honte. Mais l’envie était plus forte, il est si excitant de sentir le tissu caresser mes fesses que je dévoile en relevant légèrement le bas de ce vêtement de femme pour laisser apparaître la dentelle de ma culotte. Mes nuits sont aujourd’hui réchauffées par ces sous-vêtements purement féminins. J’adore cela ! J’imagine que l’on puisse en parler plus librement, voir même pouvoir porter plus de dessous coquins comme bas ou porte-jarretelles, et laisser naître en moi, la « salope » secrète qui m’habite pendant nos soirées intimes.
Je ne cherche plus à réfréner mes pulsions car je pense avoir passé l’âge mais espère vivre pleinement cette partie de ma sexualité si longtemps enfouie en moi sans pour autant oublier que je reste et resterai l’homme du couple.
Derniers Commentaires