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Lundi 28 décembre 1 28 /12 /Déc 12:31

Basé sur une histoire vécue et finalement romancée (à peine)

J’étais encore bien jeune à l’époque, plutôt innocent. Je courrais après les filles… Et certains soirs, secrètement, je rodais dans les coins de rencontre. C’est ainsi que par cette chaude soirée d’un été indien fort appréciable, je circulais là où il est connu y avoir des hommes en recherche d’âme sœur.

Plutôt réservé, je faisais de nombreux tours, sans vraiment oser poser mon dévolu sur un de ces prétendants éventuels. L’heure avançait inexorablement, me faisant prendre conscience qu’il me faudrait bien, un moment ou un autre, me garer et me laisser aborder. Il m’aura fallu puiser au fond de moi, le courage de répondre par quelques appels de freins à cette voiture qui me suivait, l’entrainant derrière moi dans une ruelle abritée des regards. Scrutant les environs, je décidais enfin de me garer alors sur le côté. Mon suiveur fit de même…

Je sentais mon sang affluer à mon cerveau en ma faisant tourner la tête et l’excitation naître malgré la crainte. Nous sommes restés ainsi quelques instants avant que je ne me décide enfin de sortir de mon véhicule. Je vérifiais à nouveau les alentours, puis avec une nonchalance simulée, j’osais m’approcher de la fenêtre ouverte de l’autre voiture.

  • Bonsoir
  • Bonsoir… Tu dragues ? me répondit-il ?

Draguer, le mot est un peu fort, mais c’est finalement la réalité.

  • Oui, il fait chaud ce soir, j’en profite.

Se penchant sur le côté droit, il ouvrit la porte passager, et se retournant vers moi, m’intima l’ordre de monter. Machinalement, je fis le tour de sa voiture et vint me glisser à l’intérieur. Il souriait, probablement d’avoir vu ce jeune éphèbe simplement vêtu d’un tee shirt et d’un short assez moulant et qui semblait bien docile. Le plafonnier allumé à l’ouverture de la portière me laissa découvrir l’individu : Un balaise, la trentaine j’imaginais, en jean et chemise, presqu’inquiétant tant il paraissait baraqué. Plus svelte que lui, j’allais probablement n’être que le damoiseau de l’histoire.

  • Tu fais quoi dans la vie ?
  • Je suis militaire.
  • OK, moi je bosse « à la ville » Ce soir, j’étais à un repas et je n’avais pas envie de rentrer.
  • Tu es marié ?
  • Oui, et toi ?
  • Non !

Son haleine alcoolisée me dégoutait, mais intimidé par la carrure du personnage, je n’osais le lui faire savoir. Il prit les devants en posant une main large sur ma cuisse qu’il remonta aussitôt comme pour relever mon short et de l’autre, dégrafa ceinture et jean pour faire glisser sa braguette. La bosse énorme de son slip bondit par le passage libéré.

  • Tu cherches quoi exactement ?
  • Je ne sais pas vraiment, je ne suis pas un habitué.
  • Moi non plus, t’inquiètes pas… Mais j’aime bien me taper un mec de temps en temps.
  • T’as des capotes
  • Non… Y’en aura pas besoin… On peut s’amuser sans !

Sans détours, il tira mon short vers le bas mais comme celui-ci résistait, il m’ordonna de l’enlever. Je m’exécutais tel un robot en me redressant et faisant glisser simultanément short et slip à mes pieds. En moins de 5 minutes, j’étais les fesses à l’air dans la voiture d’un inconnu. J’ai vu sa queue bondir hors de son slip ! Un membre large surmonté, d’un gland déjà décalotté, fièrement dressé pointait vers le ciel entre ses jambes écartées. Il posa alors son bras sur ma nuque et de son autre main, entreprit de venir soupeser mes couilles, les malaxant, les torturant presque, avant de glisser entre mes cuisses. Effrontées et incontrôlables, ces dernières s’écartèrent malgré moi.

  • Toi, si t’es pas un habitué, t’as sacrément envie… Regardes moi ça comme tu ouvres les jambes pour te faire tripoter comme une gonzesse.

Il m’humiliait, j’appréciais ! Je n’osais répondre mais ma tête tomba en arrière, m’appuyant sur son avant-bras musclé tandis que ma respiration se fit plus haletante. Je comprends que ça l’excite autant que moi. Sa main disparait entièrement sous mes fesses me relevant un peu du siège. Je sens son pouce se dresser et presser ma rondelle ; je gigote doucement.

  • Vas-y, laisse-toi faire, empale-toi et fais toi plaisir. Fais ta salope !

Sans autres préparatifs, sans lubrification, le pouce disparait petit à petit dans mon cul. J’avoue de plus que j’adore ça. Il entreprend des petits mouvements à l’intérieur, presque douloureux mais très supportables, et plutôt agréables finalement. Je m’astique sans pudeur tout en offrant mon intimité… Je commence même à gémir !

  • Alors mon petit bidasse veut devenir ma salope ?
  • Mon silence semble l’exaspérer
  • Oh, tu vas me répondre ? T’as envie ou pas que je fasse de toi une vraie pute ?!
  • Oui…
  • Alors, ne fais pas ta timide, dis-le ! Tu vas m’exciter…
  • J’ai envie d’être une salope
  • Mieux que ça, lâche-toi !
  • Je veux être ta chose, te faire jouir !

Je sens le feu d’un désir inconnu m’envahir et reprends aussitôt :

  • Je suis comme une chienne en chaleur.

Ma main gauche attrape sa queue tendue et commence à le branler, s’arrêtant parfois pour caresser plus doucement le gland brillant qui la surmonte. Il dégage son bras de mon cou et m’indique en appuyant sur ma tête, le chemin vers son bas-ventre. Il râle maintenant, me torture la chatte. Son pouce sort laissant probablement mon orifice dilaté bien ouvert. Inexorablement, mon visage glisse le long de son ventre encouragé par sa main ferme sur ma tête. L’odeur de son gland n’est pas aussi repoussante que je l’imaginais ou ma propre excitation faussait mes sens.

J’ai ouvert la bouche comme par réflexe accueillant alors le fruit qui m’étais offert. Au contact de ma langue, il tressaillit, quand je refermais les lèvres, il s’introduisit. C’est ainsi que je commençais à prodiguer à un homme une fellation imprévue il y avait moins d’une heure. Je m’appliquais du mieux possible en découvrant ce plaisir inconnu. Ma langue s’activait pour mieux téter la chair que j’avalais. Les bruits de succions n’étaient couverts que des râles de mon nouveau compagnon. Inconsciemment, j’avais commencé à caresser ses couilles.

L’homme est puissant me redresse, vient poser sa main sur mon ventre, son bras toujours glissé dans mon dos suffit à me prendre ne étau et me soulever comme un fétu de paille.

Je ne suis qu’un pantin qu’il glisse sur ses cuisses. Je m’agrippe au volant. Si mes pieds restent côté passager, dos tourné à la porte, mes fesses sont maintenant posées sur son genou. Sa bite se coince entre mes lobes charnus.

  • Tu sais que je te baiserais bien, ma petite tafiole… Si tu voulais, je te démonterais la chatte !

Ce con me donne envie ! Mais la raison m’en empêche. Je me maudis de n’avoir pas pris les précautions de m’équiper de préservatifs. Etrangement, j’espère presque qu’il fasse fi de notre décision commune et initiale, qu’il me force… Qu’il me viole ! Je sens son dard se frotter dans mon sillon, emprisonné par sa main posée à plat sur les fesses. Je couine, il soupire. J’enlève le tee shirt… Je suis nue comme un ver, avec juste mes baskets aux pieds ! C’est moi maintenant qui m’affaire sur sa queue, penché en avant, appuyé sur mes genoux, je la branle de mon petit cul.

Les phares d’une voiture passant doucement dans la ruelle éclairent l’habitacle. Je voudrais me cacher mais il me retient par la taille.

  • N’aies pas peur, ma belle, c’est un mec comme nous !

La voiture ralentie à notre hauteur, sans s’arrêter vraiment. Il ne peut me voir que de dos, je me rassure et creuse un peu plus les reins : Autant que ce voyeur en ai pour son argent, je décris de petits cercles du bassin. Mais il reprend sa route pour ne pas nous importuner.

  • Putain pour quelqu’un qui dit ne pas être habitué, t’es vraiment chaude du cul ! Si j’avais su que tu étais une telle salope, je t’aurais suivie avant… Et j’aurais pris des capotes avec moi !!

Ses mots me rendaient dingue.

  • Vas-y, sois une bonne petite tarlouze !
  • Ouiiiiiiiiiii, je suis ta putain !
  • C’est ça, bouge ton cul !
  • Oh ouiiiiiiiiiii.
  • La prochaine fois, j’aurais ce qu’il faut et je te baiserai comme une nana.

Tout en gémissant sans retenues maintenant, j’ai repris mon astiquage personnel en imaginant cette « prochaine fois »

  • Je te sauterai sur le capot ! Et si quelqu’un passe, il verra bien que tu es une petite tapette…

Ces mots déclenche en moi un orgasme nouveau en poussant des petits cris aussitôt suivis d’un jet chaud de sperme sur mes reins. Je me cambre machinalement, offrant ma chatte au reste de son jus avant de me rassoir sur ses genoux. Mes cuisses dégoulinent de sa semence, il m’enlace et me plaque contre lui en se laissant tomber contre le dossier. Sa bite toujours bien au chaud entre les lobes de mes fesses trempées.

Un instant plus tard, il me complimente.

  • T’es vraiment bonne tu sais. T’as un cul d’enfer qu’il faudra que je te défonce.
  • Merci
  • Non, c’est moi qui te remercie. J’étais passé sans penser que je trouverais une petite pédale.
  • Je ne fais quand même pas si pédale que ça quand même !
  • Non, c’est vrai… Mais en tout cas, t’es quand même une bonne salope et je vois bien que tu aimes ça…

Je ne réponds pas, bien qu’il ai raison ; difficile de nier l’évidence.

  • Je pense même que tu rêves souvent de bites… De servir de femelle… Et peut-être de mettre des dessous sexys !

Comment a-t-il pu deviner mes fantasmes les plus secrets ? Il ne le voit pas mais je souris.

Doucement, il relâche son étreinte et me repousse vers mon siège. Je vois en me retournant qu’il rajuste son pantalon. Je ramasse mon tee shirt mon slip et mon short.

  • Faut que j’y aille ; ma femme va s’inquiéter…

Il a fait sa petite affaire, il me vire !

  • Tu viens souvent dans le coin ?
  • Non… Enfin, si, mais pas régulièrement.
  • La prochaine fois qu’on se croise, prévoit des capotes ! Enfin, si t’as envie que je te saute.
  • Oui… Oh oui, j’aimerais bien

Un grand sourire illumine son visage.

  • Aller, mon joli bidasse… Non, ma petite tarlouse, tu te rhabilleras dans ta voiture, je dois partir.

Il se penche au-dessus de moi pour ouvrir ma portière.

  • A la prochaine !
  • Salut

Je sors, nu et file rapidement dans la ruelle vers ma voiture ; il se rince l’œil une derrière fois, démarre et disparait. Je m’assieds à mon volant, les fesses poisseuses et renfile mon tee shirt. Mon short est maculé de mon sperme, je ne le remettrai pas. Rassasié, je repense à ce que je viens de vivre et prend le chemin du retour.

Malheureusement, je ne recroiserai jamais l’homme.

 

Publié dans : La Tapette
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