Pascal(e)...Trav "intérimaire"
J’avais pris l’habitude de faire une petite halte sur l’Aire De Saint-Aunès, un peu avant Montpellier. Cette fois encore, lors de mon voyage, je venais m’y garer pour une petite halte. Je ne cacherai pas que je connaissais l’endroit ; pas de station mais juste une petite construction abritant les toilettes, juste une aire dortoir. On pouvait deviner facilement ce qui se tramait ici en remarquant le ballet des hommes qui sortaient pour revenir peu après. Tard dans la nuit, l’endroit servait de lieu de rencontre aux voyageurs isolés. Sur la gauche, des bosquets rabougris et faciles d’accès, parmi lesquels disparaissaient parfois des hommes de passage, routiers ou simples voyageurs à la recherche d’une discrétion relative.
Nous étions peu nombreux à stationner sur l’aire ; intrigué par le manège de cet homme qui, sorti quelques instants plus tôt des toilettes, y retournait, je me décidais de m’y rendre à mon tour. L’endroit était glauque, l’odeur presque dérangeante. L’homme, la quarantaine probablement feignait pisser au fond des lieux. Je m’arrêtais à quelques urinoirs de lui, pour l’imiter. Je sentais son regard pressant… Il s’est légèrement reculé, comme pour me laisser voir sa queue tendue et déjà bien raide. J’ai timidement regardé. Il lui restait à ferrer le poisson, ce qu’il fit en se tournant vers moi ! Sa bite dressée paraissait me viser. J’ai levé les yeux, il souriait. Plongé dans mon regard, il avait compris l’intérêt que je portais à son encontre et se masturbait maintenant fièrement. Je me suis tourné vers lui à mon tour, laissant descendre un peu plus mon short et mon slip.
Un autre homme est entré. Je me rajustais rapidement. Le premier est resté tranquille, rangeant son attirail sans précipitation. En sortant avant moi, je vis ce petit signe discret de la tête qui m’intimait de le suivre. J’en avais le palpitant qui battait à tout rompre dans ma poitrine quand je suis sorti à mon tour. Tranquillement, l’homme marchait en direction des buissons éparses qui marquaient la limite de l’Aire. Je lui emboitais le pas, comme hypnotisé. Arrivé à l’abri des vues, nous découvrions un peu plus loin un couple en pleine action ! Il s’est arrêté me faisant signe de le rejoindre, sorti à nouveau sa bite et profita du spectacle qu’offrait les deux amants découverts.
·
C’est sympa ici, tu ne trouves pas ?
·
Oui
·
Regarde, ils savent qu’on les matte… Branle toi aussi !
Appuyé à une branche basse, le baisé couinait à chaque coup qu’il recevait et je l’enviais ! L’autre, conscient aussi de notre présence, se déchainait, nous montrant parfois les fesses qu’il tenait écartées. Je baissais mon slip et mon short… Moi, je bandais à l’idée de prendre la place de la petite salope, mon compagnon, certainement celle d’être celui qui baise. Il s’est approché de moi et j’ai senti sa main se poser sur mes hanches et me tirer vers lui. Mon short glissait à mes chevilles. J’ai senti sa cuisse contre mes fesses, son gland me touchait parfois pendant qu’il se branlait. Il a senti que je creusais les reins !
· T’aimerais te faire baiser comme ça ?
· Oui… Oh ouiiiii
Pendant ce temps, les grognements du baiseur se firent plus concrets, il assenait de véritables coups de boutoir à la tarlouze qu’il défonçait sans vergogne, la faisant sauter sur place à chaque fois. Les yeux rivés sur la scène, j’entrais presque en transe. Mon mec s’était glissé derrière moi, tentant de m’écarter les jambes prisonnières de mon short.
J’ai obéi machinalement. Me découvrant docile, il m’a alors retiré mon tee-shirt. Il n’avait fallu que quelques minutes pour que je sois nu, avec juste mes baskets aux pieds, mes fringues posées au sol négligemment. Il m’a attrapé le poignet pour que j’arrête de me branler et m’a guidé vers sa bite. Bien sûr, je me suis laissé faire, empoignant délicatement le pieu de chair sur mon côté. Je me souviens de l’avoir trouvé doux comme du velours, et raide comme une poutre. Sa peau glissait soyeusement dans ma paume lui arrachant de petites contractions. Je jouais avec précaution sur son gland entre pouce et index.
Devant nous, le couple s’était figé. L’étalon tirait de ses mains le bassin qu’il venait de féconder pour mieux se planter au fond. Il grognait des mots incompréhensibles d’où nous étions. Il a fini par se retirer en nous regardant et se reculer suffisamment pour nous laisser voir les fesses trempées de son petit PD. Sans empressement, ils se sont tous deux rajustés et sont passés près de nous, sourire aux lèvres, pour retourner à leur véhicule respectif. A notre niveau, mon mec, comme pour m’humilier devant eux, rompait le silence :
· Je vais t’enculer moi aussi !
Le couple s’éloignait, j’étais dans un état second. Je gigotais, plaqué aux cuisses de mon futur amant, tiraillé entre crainte et envie.
· C’est pas très discret ici.
· On s’en fout ! Je sais que tu en as envie !
· D’accord, mais pas ici.
· Suis moi…
J’ai voulu ramasser mes vêtements mais il m’en a empêché.
· Laisse, on ne va pas loin, y’a personne qui viendra te les voler.
· Oui, mais j’ai mes clefs…
· Oh, fais pas chier ! Suis-moi je te dis… Obéis un peu si tu veux que je te
baise !
Et c’est ce que j’ai fait ! Paniqué mais trop excité pour m’opposer à lui. Il devait être habitué de l’endroit car il m’a guidé vers le petit muret qui ceinturait la zone. Là, caché du parking, le grillage était ouvert, probablement par les habitués. Nous nous sommes retrouvés hors de l’Aire, sur un petit chemin de terre bordant cette dernière. Vigne et garrigue, éclairées par la lueur blafarde de la lune, proposaient des petits coins tranquilles. On pouvait voir les toilettes et le parking, ce qui me rassura un peu. Je marchais, nu, devant lui en ondulant des fesses consciemment… J’avais vraiment, comme le dit l’expression, le feu au cul !
Là, à quelques mètres du chemin, nous nous sommes enfoncés un peu jusqu’à un genre de clairière, propice à nos futurs ébats. Il m’a tiré vers lui pour me prendre dans ses bras, je sentais sa queue qu’il avait gardé hors de sa braguette, sur ma peau… Et j’en avais envie ! Il susurrait des mots qui m’électrisaient encore plus.
· Tu as envie d’être ma salope ?
· Oui
· Non, je ne veux pas que tu répondes comme ça, je veux t’entendre parler, me
supplier…
· Je veux être votre salope
· Bien, ça t’a excité de voir la tapette se faire enculer tout à l’heure. Tu voulais
prendre sa place !?
· Oh oui, j’aurais aimé ça.
· Je vais m’occuper de ton petit cul… Ou tu préfères que je parle de ta
chatte ?
· …
· Alors, tarlouze, je t’ai posé une question, tu réponds !
· De ma chatte…
Il était devenu plus autoritaire, je ne voulais pas le contrarier. J’avoue même préférer endosser le rôle de femelle que de simple tapette. Ses mains se sont posées sur mes épaules pour m’indiquer que je devais m’agenouiller. Ensuite, une main derrière ma nuque, de l’autre Il guida son gland luisant vers mon visage. Mon hésitation fut de courte durée ; délicatement, je pris le bout de chair qui m’était présenté, entre mes lèvres. Il était chaud, soyeux et finalement bien agréable à téter. J’osais parfois, le lâcher pour simplement le lécher ou laisser ma langue glisser le long du mandrin qu’il surmontait. La pression sur ma nuque m’imposa d’engamer plus profondément le membre pour qu’en « bonne salope », je taille une pipe à son propriétaire. Ce que je fis avec application !
Pendant un petit quart d’heure, j’ai sucé, léché et branlé avec délectation cet homme qui m’était encore inconnu une heure auparavant. Il s’est enfin penché sur moi, sa main est descendue de ma nuque à mes fesses doucement. Il n’a pas perdu de temps pour venir me préparer car, un, puis deux doigts sont venus me fouiller. J’offrais peu de résistance tant l’envie était forte.
· T’es prête, relève-toi !
Il me parlait comme à une fille ! Je me suis levé, retourné et penché vers l’avant sans qu’il ai besoin de le demander.
· C’est bien ! Ecarte tes fesses ! Montre-moi que tu veux devenir ma salope !
Je n’ai pas eu à répondre. Il a craché sur ses doigts pour venir me lubrifier et m’a abandonné un instant. Il avait sorti un préservatif qu’il avait aussitôt enfilé. J’ai apprécié ce geste bien que dans l’état second dans lequel je me trouvais, il aurait pu me baiser à cru sans que je m’y oppose. Du pied, il m’a ouvert encore plus les jambes et a appuyé sur mes reins pour me signifier de me baisser vers l’avant. La tête au niveau des cuisses, j’avais maintenant le cul en l’air et de mes deux mains, j’écartais exagérément mes fesses. Il a guidé sa bite entre elles pour venir me caresser la rondelle de son gland. Il s’est ensuite figé et j’ai senti la pression tant attendue. Je reculais discrètement vers le braquemard pour l’aider.
· Parle, dis-moi que t’es ma petite pute… Que tu veux que je te baise la chatte !
J’entrais évidemment dans son jeu sans qu’il ai besoin d’insister.
· Ma chatte de pute est à vous
Sa queue s’est enfoncée lentement sans rencontrer de réelle résistance. J’ondulais du bassin comme le ferait une vraie femelle au rythme des « oui » discrets que je poussais. Fermement ancré sur mes hanches, il entreprit des mouvements de piston de plus en plus profond, prononçant des insanités très excitantes. Tout ça me plaisait tellement !
Était-ce la circulation ou simplement étions nous trop occupés, nous n’avions pas entendu un autre homme arriver. Je l’ai remarqué sur notre gauche et me suis redressé pour le faire savoir à mon amant. Je ne pouvais pas me cacher, encore moins me revêtir ! Peur et excitation mêlées, je me retrouvais debout, exposé une bite dans le fondement au regard vicieux de l’arrivant. Mon mec (Ben oui, c’est ainsi qu’il était devenu) tentant de me rassurer, me glissa à l’oreille :
· N’aie pas peur, je suis là… Laisse le regarder, c’est juste un voyeur.
· Ça me gêne !
· Non, ça t’excite ! On est allé trop loin pour s’arrêter ainsi.
J’abdiquais en faisant tourner délicatement mes fesses sur son pubis. Il m’enserra la poitrine, me fit tourner en direction du type qui, manifestement se masturbait. Remontant ses mains au-dessus de mes épaules pour venir les joindre derrière ma tête, il lui montrait sans vergogne que j’étais sa proie. Je me retrouvais prisonnière, les bras en croix, affichée sans pudeur. Ses ruades reprirent, berçant la nuit d’un bruit semblable à des claques sur mes fesses, m’arrachant des petites plaintes étouffées au début. Il relâcha sa clef pour me remettre dans la position précédente en prenant soin de tirer ma tête en arrière. J’étais cambré à l’extrême, le visage face au voyeur, le cul bien relevé à subir ses ruades ponctuées de ses quolibets. Ses mots crus me transportaient. Il me semblait être une femelle à la saillie et comme telle, ressentir ces coups de pilon dans mon vagin. J’agissais maintenant comme telle !
Pas à pas, discrètement, l’autre larron s’était approché pour se planter face à moi ; j’imaginais, probablement à tort, que ce n’était que pour mieux voir, mieux entendre. Je devinais son gland sortir de son fourreau tandis qu’il se masturbait. C’était une première pour moi ! J’avais secrètement une envie folle de me jeter sur sa queue. Ce fut fait quand les assauts de mon mec m’envoyèrent vers l’avant, j’ai pris appui sur les cuisses du gars qui se raidit. Il pouvait alors frapper mes lèvres en s’astiquant et j’ai machinalement ouvert la bouche comme une putain le ferait.
Si l’homme restait muet, mon baiseur était plus loquace.
· Suce-le, salope ! Sois une bonne pute !
Il avait le don pour me rendre folle. Il devinait mes envies. J’ai pris la queue offerte dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation digne de ce nom. J’étais prise en étau entre ces deux hommes, une bite dans chaque trou, à gémir sans retenue. Les couilles de mon mec frappaient les miennes maintenant. Ses mains sur mes hanches me tiraient vers lui et ses coups me renvoyaient à la rencontre de l’autre queue. Je m’étais entièrement libérée, acceptant mon sort en couinant de plaisir, partagée entre ces deux types qui ne voyaient en moi, qu’un moyen de se vider les couilles. J’en oubliais la réalité et profitais pleinement de l’instant.
Le voyeur s’est reculé sans dire un mot, me laissant bouche ouverte avant de comprendre qu’il allait jouir. J’ai reçu ses giclées sur le visage et la poitrine. J’aime à penser que c’est le spectacle que nous lui avions offert qui avait eu raison de lui. Il s’est rajusté et s’est éloigné comme il était arrivé, sans bruits, sans même me remercier !
Mon mec semblait satisfait de ma prestation en s’acharnant dans mes entrailles presque violemment. Ses coups redoublaient fébrilement entre mes fesses. Ses insultes incompréhensibles pleuvaient. J’étais aux anges à me faire délicieusement éventrer sans rechigner. Le dard qui me labourait le ventre m’inondait d’un plaisir subtil. Il me disait que j’allais pouvoir faire le tapin (oups) et que je ne devais plus me cacher. Pour lui, j’avais le cul dont pouvaient rêver tous les hommes et une meilleur chatte qu’une femme… Il m’encourageait de ses commentaires quand je gémissais sans retenue !
· Hummm… Prends ça dit-il en se figeant au plus profond de ma chatte
Il jouissait ! Je tentais de gigoter encore sur sa bite mais il me bloquait contre lui, ne me laissant que l’opportunité de jouer de petites contractions. Je ne regrettais que de ne pas avoir pu être inséminée du fait de la capote mais ce simulacre de fécondation m’avait vraiment emporté. Nous sommes restés ainsi, collés l’un à l’autre, à apprécier le moment. Je me suis redressé doucement quand j’ai senti sa raideur disparaitre jusqu’à ce qu’il se retire. En me retournant, j’ai pu constater qu’il me montrait fièrement le préservatif rempli qui pendait au bout de sa bite.
· Regarde ce que tu as loupé ma salope !
C’était comme s’il retournait le couteau dans la plaie, j’aurais tant aimé le recevoir en moi. Il a enlevé la protection pour ranger son attirail en prétextant devoir rentrer chez lui. Une fausse excuse que j’acceptais malgré moi. J’avais quand même, en moins d’une heure, connu un plaisir nouveau pour moi, soumise à un homme, offerte à un autre ! J’étais bien décidé à retenter une telle aventure si l’avenir me le proposait.
Nous sommes donc revenus en faisant chemin inverse. Toujours nu, il m’a passé la main aux fesses quand j’ai enjambé le muret. Effronté, je les ai écartées pour sentir une dernière fois ses doigts caresser ma chatte. De l’autre côté, je retrouvais avec satisfaction mon short et mon tee-shirt ! Cette fois, c’est moi qui ai pris les devants :
· Merci… Merci beaucoup !
· J’ai tout de suite compris ce que tu cherchais quand tu m’a regardé aux
chiottes.
· Ah bon ?
· Oui, j’ai vu une tapette… Je me suis douté que tu avais envie d’être prise
comme une salope.
· C’est pas mon habitude !
· Pas encore, mais ça viendra. Tu aimeras ça de plus en plus. Il ne te reste qu’à te
travestir !
Nous avons échangé encore quelques minutes, pour finalement, retourner chacun de notre coté à nos véhicules respectifs. Il a repris la route, moi, je suis resté dans la pénombre à me branler en repensant au délicieux moment passé précédemment. Mes convictions étaient à revoir, je n’étais plus vraiment un mâle mais en route de devenir (secrètement) une salope
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